A propos de 3.14Air :
L’artiste chercheur : Derrière le pseudonyme 3.14Air se trouve Pierre De Loor, musicien confirmé et universitaire scientifique. Le pseudo 3.14Air (lire Pi ERRE) est d’ailleurs un clin d’œil à ce mélange intriguant entre art et science qu’il a toujours défendu. Comme il aime à le dire: « Il y a des choses contre lesquelles on ne peut rien, comme la valeur de pi (3.14), Alors 3.14Air chante ce contre quoi on ne peut rien tout en nous aidant à respirer l’AIR qui nous aide à faire avec ».
Certes, cet homme connaît les longs chemins, celui des études en particulier, mais celui de la créativité également. Certes, il parle de choses très compliquées avec des gens très savants, mais il continue à jouer du piano, avec acharnement, à écrire des textes, comme il le faisait déjà enfant, dans sa Picardie natale. Parce que comme tout chercheur honnête, il doute, parce que l’émotion et la quête de sens sont ses moteurs. C’est ainsi qu’il a mené une double vie, la recherche et la musique. Pour cette dernière, il commença par le classique, réclamant un piano au grand étonnement de ses parents, qui n’étaient ni musiciens ni artistes. Etonnement qui se transforma en stupéfaction lorsqu’il rentra avec la meilleure mention du concours du conservatoire un peu plus tard. Puis, il réalise que les improvisations qu’il joue ont un nom: le Jazz. Il rejoint un groupe et travaille les standards.

Il rencontre d’autres musiciens, leur fait découvrir ses propres compositions et forme un groupe pop/rock avec des amis (Leika) qui le mène sur les scènes les plus prestigieuses de Bretagne ou d’ailleurs.. Au chant c’est sa femme Caroline qui fait pétiller les salles.

Puis notre universitaire passe au micro, au début pour ses chansons les plus intimes. Des textes comme « Epure » ou « J’ai perdu quelque chose », qui évoquent Souchon ou Albin de la Simone.. C’est là qu’il lance le projet 3.14Air.
A peine le projet lancé, il fouille dans ses cartons et retrouve d’anciens enregistrements, il en sort une compilation avant de se lancer dans la composition de nouveaux titres avec une production plus électro. Ses textes flirtent avec le surréalisme, dansent avec les métaphores et parlent souvent de la condition humaine, des choses contre lesquelles on ne peut rien mais aussi des forces en soi pour les transcender. Après quelques clips, EP et concerts, les premiers retours sont enthousiastes.. L’évidence des mélodies fait qu’il peut les interpréter simplement au piano, à la façon d’un Higelin ou d’un Vincent Delerm, comme il le fait régulièrement dans les lieux de rencontres musicales Brestoises.
Le webzine « litzic22 » qualifie l’EP « Sans les autres » de « chanson consciente » et ajoute : « cet EP nous surprend par son coté vivifiant, il existe une certaine légèreté de ton pour un propos qui ne l’est pas toujours. C’est un EP humain, ni plus, ni moins » . Le magazine francofans parle d’un « disque unique, complexe mais qui se révèle une fois qu’on en trouve les codes » . Baware ajoute : « 3.14Air réussit à faire de nos travers, une bulle de légèreté » . Il est mis en playlist sur plusieurs radios et tout ceci l’encourage à se lancer dans l’écriture d’un nouvel album, « L’espace d’un instant », accompagné du clip « On a besoin d’histoire » réalisé par son fils.
L’album, distribué par INOUIE DISTRIBUTION , rencontre un beau succés., FrancoFans y trouve des affinités de références (Jean-Louis Murat, Chérlie Couture ..), il est égalemetn chroniqué et interviewé par La Parisienne Life, le webzine « Les oreilles curieuses » ainsi que la presse local (Ouest-France, Coté Brest, Le Télégramme). Il est programmé en playlist de nombreuses radios.
Avec le groupe Leika, ils entrent en résidence à l’amphi de Saint-Renan à la rentrée pour une série de concert dont le premier se jouera à l’Amphi de Saint Renan le 22 Octoabre 2022.

